On pose des questions tout les jours

Publié le 15 juil. 2024

Modifié le 1 oct. 2024

On pose des questions tout les jours

Pourtant on n’utilise que 15% des possibilités de questions à notre disposition.


“Si j’avais une heure pour résoudre un problème dont ma vie dépendait, je passerais les 55 premières minutes à chercher la meilleure question à me poser.”

Ça, c’est Einstein qui le disait.

Rien de nouveau, parce que le premier à avoir fait ce constat, c’est Socrate.
Et il est pas tout jeune.
Socrate, il offrait des questions.

Il posait des questions pour faire réfléchir.
C’est sur cette idée qu’est née le premier lycée de l’histoire.

Aujourd’hui l’éducation s’appuie abondamment sur les questions. Son objectif, c’est instruire puis Interroger pour évaluer l’instruction.

C’est pour cette raison que lorsqu’on pose une question, on cherche à comprendre, on cherche à confirmer notre vision du monde.

On est habitué à ça.

Pour explorer les 85% de questions possibles restantes, il nous faut changer de posture.

Lorsqu’on pose une question, il faut qu’on amène la personne à prendre une certaine posture, soit en temps qu’acteur, soit observateur, soit par rapport à ce qu’elle ressent, puis l’inviter à un geste mental spécifique.

Frédéric Falisse vous explique tout en détails juste ici : https://lnkd.in/eba9YJxp

C’est une des méthodes que j’utilisais pour identifier les besoins des utilisateurs durant les entretiens UX. (poke Caroline Bedaux & ECV Bordeaux)

Vous pouvez aussi l’utiliser.

Vous avez sûrement un proche qui est en train de se poser des questions sur son orientation professionnelle.

Vous pouvez l’aider en lui posant d’autres types de questions.

Pour lui permettre de voir les choses différemment et ouvrir son champ des possibles.

Essayez par vous-même : Posture + geste mental + objet.

Et comme c’est la période, si ce proche à besoin d’un accompagnement sur parcoursup, vous pouvez aussi vous rapprocher de Cédric IMBART-LATOUR 👨‍✈️ de Edupulse qui est expert dans ce domaine.